periode passe dans une cave par un fromage

Périodepassée dans une cave par un fromage; INAPERCU. 8 lettres. Passé discrètement; Passé sans être vu; TREFILEE. 8 lettres. Passée par la filière; EPIA. 4 lettres. Garder à vue; Eut à l'oeil; Fit des observations ; Guetta; EPIE. 4 lettres. Garder à vue; Fait le voyeur; Garde à l'oeil; Garde à vue; Garde sous surveillance; Surveille de loin; EPIAS. 5 lettres. Garder à vue Visitede Gruyères en Suisse : un vrai coup de coeur. La ville de Gruyères, 2 200 habitants, appartient au canton de Fribourg.Elle est située dans la région de la Gruyère et se trouve à 33 km de Fribourg, 5 km de Bulle et 1h30 de Genève.. Avec ses nombreux pâturages, elle se trouve à une altitude de 830 mètres. PasseeDans Une Marinade; Une Specialite A La Moutarde Dont Ypres Se Serait Bien Passee; Passee Par Une Gorge; Trace D Une Gloire Passee; Pièce De Bois Passée Dans Les Ridelles D'une Charrette; Verbe D'une Libération Passée, Qui, Au Son, Évoque La Météo; Période Passée Dans Une Cave Par Un Fromage; Periode Passee Dans Une Cave Par Un UneTête de moine se prépare selon les préférences. Étant un fromage de nature riche, sa forme de fleurs ou de rouleaux est parfaitement intégrable dans n’importe quelle alimentation, du moment qu’elle est équilibrée. Elle est conseillée pour les salades de noix et de figues. Évidemment, elle se déguste délicatement avec un pain PERIODEPASSEE*DANS*UNE*CAVE*PAR*UN*FROMAGE - - 20 solutions de 3 à 9 lettres pour les mots croisés Connexion; S'inscrire; Solutions de mots croisés et mots fléchés pour PERIODE PASSEE DANS UNE CAVE PAR UN FROMAGE - 20 solutions de 3 à 9 lettres. Le caractère joker est * mais vous pouvez utiliser la "barre d'espace" Annuler Site De Rencontres 100 Gratuit Pour Les Femmes. Le Pont-l’évêque est un fromage à pâte molle et à croûte lavée créé par des moines cisterciens installés à l’ouest de Caen au XIIe siècle. Fromage à caractère en fin d’affinage, il révèle un goût légèrement typé, une saveur subtile avec des notes de noisette et de beurre. De quoi séduire tous les palais ! Depuis longtemps, le Pont-l’évêque fait la fierté des Normands et témoigne aujourd’hui d’un savoir-faire particulier transmis de génération en génération. En 1996, il bénéficie d’une Appellation d’Origine Protégée AOP. Dans ce présent article, tout ce qu’il faut savoir sur ce produit aux mille et une saveurs. Report Abuse Description Shipping Avis 0 Vendor Info More Products Description Histoire et origine du Pont-l’évêque AOP À l’origine, le Pont-l’évêque portait le nom d’Angelot, une pièce de monnaie qui servait de moyen d’échange, de rémunération et d’impôt. Ce terme était tiré du nom du Pays d’Auge d’où vient le fromage. Plus tard, Angelot était utilisé pour désigner d’autres fromages fabriqués en Normandie, ceux-ci étant les plus réputés du royaume de France au XVe siècle. Ce n’est au XVIIe siècle que l’appellation Pont-l’évêque sera définitive, inspirée de la ville située entre Lisieux et Deauville qui accueillait sur son marché les producteurs qui le vendaient. Le fromage dépasse alors les frontières et acquiert la forme carrée pour se démarquer du Livarot. Au XIXe siècle, le Pont-l’évêque était produit deux fois par jour, une production favorisée notamment par le développement de l’élevage laitier dans la région. Selon le processus de fabrication et la qualité, le fromage se déclinait ainsi en trois types. On retrouvait le Pont-l’évêque De première qualité, élaboré à base de lait entier, enrichi parfois de crème de fleurette ; De seconde qualité, fabriqué à partir du mélange de lait écrémé de la veille et de lait entier ; De qualité moindre, produit avec du lait écrémé de la veille, moins riche et plus acide. Grâce à sa fabrication au lait entier, le Pont-l’évêque devient un fromage de luxe. C’est d’ailleurs la seule déclinaison à être vendue sur le marché, d’autant que la matière grasse était rare et onéreuse à cette époque. En outre, l’essor des lignes de chemin de fer a permis au fromage d’étendre sa zone de commercialisation. Les Halles de Paris et les villes de province sont dès lors facilement et rapidement approvisionnées par les fromagers. Un siècle plus tard, on assiste à la modernisation de la collecte de lait et des méthodes de transformation. Les grands groupes fromagers se développent en conséquence, entrainant une grande délocalisation de la production du fromage. Pour valoriser et garantir l’authenticité du Pont-l’évêque, les producteurs locaux vont donc s’organiser. Il obtient ainsi une Appellation d’Origine Contrôlée AOC en 1972 et une Appellation d’Origine Protégée AOP en 1996. Présentation et situation géographique du Pont-l’évêque AOP Le Pont-l’évêque est un fromage au lait cru, thermisé ou pasteurisé de vache, essentiellement de race normande. Il présente une pâte molle, souple et homogène avec quelques ouvertures par endroits, d’une couleur ivoire à jaune paille. Sa croûte est, quant à elle, fleurie de couleur jaune orangé, striée sur les deux faces. Par ailleurs, ce fromage révèle un goût doux avec des arômes lactiques, végétaux et parfois même fumés. Il peut prendre une forme carrée ou rectangulaire d’une hauteur d’environ 3,5 cm. En outre, c’est un produit gras puisqu’il contient au minimum 45 g de matière grasse pour 100 g de fromage après dessiccation. Sur le marché, le Pont-l’évêque est proposé sous 4 formats Le Pont-l’évêque 10,5 à 11,5 cm de côté, entre 300 et 400 g, durée d’affinage minimum de 18 jours ; Le grand Pont-l’évêque 19 à 21 cm de côté, entre 1,2 et 1,6 kg, durée d’affinage minimum de 21 jours ; Le demi Pont-l’évêque rectangulaire 11 sur 5,5 cm de côté, entre 150 et 200 g, durée d’affinage minimum de 18 jours ; Le petit Pont-l’évêque 9 à 9,5 cm de côté, entre 180 et 250 g, durée d’affinage minimum de 18 jours. Dans tous les cas, le Pont-l’évêque est fabriqué dans cinq départements normands et la Mayenne en région Pays de la Loire par des fromageries et quelques producteurs fermiers. Son aire de production se caractérise par des températures régulières, un réseau hydrographique dense ainsi que des vallées implantées de prairies qui favorisent l’alimentation herbagère des vaches laitières. Fabrication et saisonnalité La fabrication du Pont-l’évêque passe par un processus bien défini. Tout d’abord, le lait utilisé pour la production doit provenir à au moins 50 % de vaches de race normande. Le stockage de celui-ci ne peut pas dépasser 48 heures à compter de l’heure de la traite, et 96 heures jusqu’au début de la maturation. En principe, il faut 3,5 litres de lait écrémé thermisé, pasteurisé ou cru pour élaborer ce fromage. La maturation se déroule à une température inférieure à 40 °C avec ensemencement en présure, levures, cultures inoffensives de bactéries, moisissures, sel et chlorure de calcium. Le lait est ensuite emprésuré en bassine à une température située entre 32 et 40 °C. Une fois coagulé, le caillé obtenu est découpé en petits grains, puis brassé. Pour soutirer une partie du lactosérum, le producteur utilise soit la méthode par pompage, soit celle par écoulement gravitaire. C’est l’étape du moulage. Par la suite, l’égouttage se fait dans un moule à une température comprise entre 17 et 31 °C pour une durée minimum de 10 heures. Après 2 à 3 jours d’emprésurage, le fromage est retourné plusieurs fois, salé au sel sec ou en saumure et démoulé. S’ensuit une phase de ressuyage. Enfin, le processus de fabrication s’achève par l’affinage qui est réalisé en deux temps Avant emballage période au cours de laquelle le fromage est brossé ou lavé dans une cave à une température comprise entre 11 et 19 °C, durée minimale de 8 à 9 jours en fonction des formats ; Après emballage affinage complémentaire dans une cave à une température comprise entre 4 et 15 °C, durée minimale de 18 à 21 jours suivant les formats. Lors de l’achat du Pont-l’évêque, préférez le fromage à la croûte lisse de couleur jaune orangé, à l’odeur assez forte et la saveur prononcée. À noter que ce produit est commercialisé en été, en automne et en hiver. Il est de ce fait préférable de le consommer de juillet à mars. Quel fromage ressemble au Pont-l’évêque ? Le Livarot est un fromage qui présente des traits de similitude avec le Pont-l’évêque, notamment en termes de mode de fabrication. D’ailleurs, tous deux proviennent de la région Normandie. Toutefois, le Livarot prend une forme ronde et révèle une croûte ridée orangée, son odeur étant marquée d’étable et de foin. Où est fabriqué le Pont-l’évêque ? Le Pont-l’évêque est produit dans les cinq départements de la région Normandie le Calvados, l’Eure, la Manche, l’Orne et la Seine-Maritime. Néanmoins, son aire de production couvre aussi le département de la Mayenne en région Pays de la Loire. Pourquoi Pont-l’évêque ? Le Pont-l’évêque était à l’origine connu sous le nom d’Angelot, un terme tiré du territoire où il vient le Pays d’Auge. Angelot désignait par la suite les fromages normands qui disposaient d’une grande notoriété dans le royaume au XVe siècle. Au XVIIe siècle, pour honorer la ville dans laquelle se tenait l’un des plus importants marchés de la région, on rendit définitive l’appellation Pont-l’évêque. Vendor Information No ratings found yet! Comté AOP Si l’on devait résumer la région de Franche-Comté à un seul mot, ce serait le Comté AOP. Ce fromage n’est pas juste délicieux, il est bon pour la santé. Un vrai régal pour les sens. C’est le fromage idéal pour tous. Sa richesse aromatique nous parle. Apprenez-en plus sur le Comté AOP de son histoire à ses la suite St Nectaire AOP Le Saint Nectaire est un univers qui se découvre et se déguste à pleine dent. C’est une commune d’Auvergne, mais aussi la zone AOP du fameux fromage du même nom. Le St Nectaire AOP est un fromage authentique dont les spécificités et l’originalité ont été modelées et façonnées au fil de plusieurs siècles d’expérience. Cette douceur de la nature a son identité particulière, que chacun se doit de la suite Selle sur cher AOP Dans la catégorie des meilleurs fromages, le Selles-sur-Cher AOP figure en haut de la liste. Ce fromage de chèvre est un pur régal pour les papilles. Crémeux et délicat à souhait, il fait partie de la famille des fromages de chèvre cendrés. Avec sa pâte molle, suivi d'un arrière-gout de noisette, il fond facilement dans la bouche. Fabriqué suivant un cahier de charges méticuleux, ce fromage fait partie des plus appréciés des Français. Dans cet article, mettons en lumière la passionnante histoire de ce fromage unique en son la suite Ricotta La ricotta est l’un des fromages les plus populaires d’Italie. Frais, crémeux et savoureux, ce fromage est un ingrédient de choix dans la cuisine italienne. Il agrémente à merveille de nombreux plats. Zoom sur cette fierté fromagère italienne qui séduit les palais du monde entier la la suite Reblochon AOP Le Reblochon AOP de Savoie est un fromage au lait cru de vache qui se distingue entre mille. Pastillé de couleur, il nous met l’eau à la bouche rien qu’à sa seule vue. Son goût fabuleusement parfumé est digne d’un fromage des dieux. Il est fermier, peut être laitier… Peu importe ! Le Reblochon se consomme, se déguste, se dévore, mais s’apprécie avec gourmandise. Découvrez ce qui se cache derrière son caractère prononcé. Entrez dans l’histoire du Reblochon la suite Salers AOP Le Salers AOP est un fromage fermier d’exception. Vous êtes sûr d’être servi en saveurs intenses. Car il est fait d’amour. Il est né de la passion des fromagers, ceux qui se dédient et s’organisent pour fabriquer un délice hors du commun. Aujourd’hui, il est devenu l’un des plus vieux fromages auvergnats. Forcément, son histoire remonte à plus de deux millénaires. Découvrons-le en détail !Lire la suite Longuement affiné, doux ou puissant, complexe, aussi savoureux que subtil, le fromage d’exception s’impose pour les fêtes. À tel point que la commande est un passage obligé pour anticiper les repas de Noël. En cette période de l’année, la fromagerie est un vrai tourne-fou. Les gens viennent commander, et ils veulent des fromages très spéciaux pour un réveillon exceptionnel », confirme Marie Quatrehomme, meilleur ouvrier de France Mof et fromager à Paris. Sa boutique, où s’affairent treize employés dans un fumet puissant et subtil de fromages de toutes sortes, ne désemplit pas. Les produits qui méritent de figurer entre la dinde et la bûche ne se trouvent pas en grande surface, assure, catégorique, Bernard Antony. Fromager d’exception, il fournit les tables des plus grands restaurants et hôtels de France ; son nom fait saliver les passionnés de gastronomie du monde entier. Pour lui, il y a fromage et fromage. Celui que l’on déniche chez les bons fromagers est travaillé, affiné parfois pendant plusieurs années dans une cave, jusqu’à ce qu’il soit devenu un produit complexe et d’un grand raffinement. Un bon plateau de fromages, c’est un assortiment de trois à cinq variétés. Il y a des règles à suivre, des produits qui s’échelonnent des plus doux aux plus corsés, c’est-à-dire des plus frais aux plus affinés. L’ordre de dégustation est important il permet au palais de ne pas être saturé dès l’abord par des arômes trop puissants. Le plateau s’ouvre donc sur les fromages frais, parfaits pour se préparer les papilles. Suivent les fromages à pâte molle, du type brie ou camembert, ou encore les fromages à pâte pressée cuite, comme l’emmental, et les fromages à pâte pressée non cuite, reblochon ou saint-nectaire. Le plateau s’achève sur les fromages à pâte persillée, tel le roquefort. Commençons avec un fromage frais pour entamer en douceur la dégustation. Un petit chèvre frais se goûte avec du miel d’acacia, des herbes aromatiques ou des épices, pour un effet à la fois suave et léger. Puis passons aux fromages à pâte molle, avec l’incontournable brie de Meaux, tout simplement fabuleux. Il n’a besoin que de lui-même pour séduire. Coulant, crémeux et délicat, il est fait de lait de vache cru, et est affiné cinq à six semaines. Les fromagers le préparent avec des noix ou des fruits secs. Pour Noël, il se fait également truffé, garni d’un mélange onctueux fait de jus et de brisure de truffe, de mascarpone et de sel. Une gourmandise diablement raffinée, qui s’accompagne d’un viognier blanc, gras, souple et parfumé. S’il ne faut choisir qu’un fromage à pâte molle, la concurrence est rude. Comment ne pas craquer pour le fameux mont d’or, coulant et boisé, dont les arômes de café, de cacao et d’épices se marient à une texture câline et onctueuse ? Certains le passent au four, la chaleur ayant pour caractéristique de rehausser les saveurs. La recette est excellente, mais c’est un plat en soi », commente Marie Quatrehomme. Et s’il est bien affiné, il vaut mieux le manger comme ça ! », conseille Bernard Antony. Marie Quatrehomme présente une déclinaison truffée, décalottée, et recommande de bien plonger la cuillère au fond du fromage pour que se superposent dans la bouche la préparation truffée et le coulant mont d’or. À accompagner d’un blanc sec, puissant et rond, un savennières ou un gewurztraminer. Pour varier saveurs et consistances, dégustons un fromage à pâte pressée non cuite comme le beaufort. Les vaches qui en produisent le lait vivent du printemps jusqu’en automne dans les alpages. L’élevage et la traite demandent un travail extraordinaire, ce qui explique son prix élevé. Mais ce serait dommage de s’en priver. Bientôt, il n’y aura plus de fous pour faire ça ! », prévient Bernard Antony. Les amateurs espèrent bien qu’il se trompe… Fruité, salé et aux arômes floraux, il a un toucher beurré et souple, d’une grande délicatesse. Un vin blanc sera un excellent compagnon, puissant, gras et légèrement boisé, comme un meursault, par exemple. Si l’on tient à avoir un fromage de brebis, l’ossauiraty fera des merveilles. Ce fromage basque très fin et élégant s’accompagne d’un vin blanc sec, d’Alsace, de Sancerre ou de Saumur. Le fromage le plus sollicité, pour trôner sur les tables du réveillon, est le comté. Fromage de montagne produit dans le massif du Jura, il est affiné en cave pendant un minimum de quatre mois. Mais pour Noël, le comté que l’on déguste a plus de trois ans d’affinage, durant lesquels il a développé une palette aromatique exceptionnelle de fruits secs et de torréfaction. Avec le temps, sa texture fondante devient plus cassante et sur la langue pétillent les cristaux de sel qui se sont formés pendant les années d’affinage. Pour le goûter au mieux, on le découpe en très fines lamelles, presque transparentes, et on l’accompagne d’un vin jaune du Jura, de chez Stéphane Tissot », nous explique Bernard Antony. Pour finir en beauté, impossible de se passer d’un fromage à pâte persillée, roquefort ou fourme d’Ambert. Et ceux que le roquefort ne séduit pas, c’est sans doute qu’ils n’ont pas encore goûté celui de M. Combes ou celui de la maison Carles », confie Bernard Antony. Fabriqué à partir de lait de brebis, le roquefort a une texture crémeuse et fondante, et dégage un fort parfum de champignon. Il enveloppe la bouche d’une chaleur et d’une puissance qui se marient bien avec les vins liquoreux. Un rivesaltes ou un banyuls, voire un porto, l’accompagnent à merveille. Les fromagers préparent aussi des tenues de fête pour leurs fromages persillés chez Marie Quatrehomme, la fourme d’Ambert est préparée au coteaux-du-layon, variante de la recette fameuse du roquefort au sauternes. Ces produits associent deux moisissures nobles,commente Marie Quatrehomme. C’est pourquoi ils s’entendent si bien ! » Pour les petits budgets, des fromages plus modestes, mais non moins savoureux, peuvent composer un délicieux plateau à moins de 15 euros pour quatre personnes. Cela donnerait un comté un mois d’âge, une fourme d’Ambert grasse et trois ou quatre petits rocamadours. Et surtout, ne vous interdisez rien, ajoute Marie Quatrehomme. Fruits, confiture, miel, vin, digestif tentez les accords ! » Car tous ces produits peuvent se déguster sur un pain un peu croustillant, de campagne, aux noix ou aux figues, accompagnés de confitures, de fruits frais ou confits. Un bal des saveurs ! Valeurs Douce, fondante, légèrement acidulée, la tomme de brebis a de quoi ravir les papilles. Depuis longtemps, il fait la fierté de la gastronomie française. De l’entrée aux plats, en passant par l’apéritif, ce fromage au lait de brebis agrémente savoureusement toutes les recettes de cuisine. Envie d’en savoir plus sur cette délicieuse pépite ? Zoom sur la tomme de brebis. Report Abuse Description Shipping Avis 0 Vendor Info More Products Description Présentation de la tomme de brebis La Tomme de brebis est un fromage au lait de brebis à croûte fleurie et à pâte pressée non cuite. Comme son nom l’indique, elle prend la forme d’une tomme. Sa croûte jaune orangé ou grisâtre enveloppe une pâte de couleur ivoire à la texture souple et homogène et parsemée de petits trous. Fondant en bouche, ce typique fromage de montagne offre une douce saveur lactée avec des arômes subtils et parfumés. Celle-ci dévoile des notes de fruits secs et de noisettes. Pesant entre 1,2 à 1,5 kilo, la tomme de brebis est légèrement calorique. 100 g de ce fromage apportent une valeur énergétique d’environ 400 kcal. Elle contient aussi une quantité élevée de matière grasse, à raison de 34 g par 100 g. De même, elle renferme une forte teneur en protéines 22 g et en lipides. Il faut aussi savoir que le fromage de brebis est une excellente source de minéraux comme le calcium, le phosphore, le sodium, l’iode, le sélénium, le zinc et le magnésium. Sa consommation permet aussi de faire le plein de vitamines, notamment en vitamines A, D, B2, B9 et B12. Histoire et origine La tomme de brebis est un fromage vieux de trois millénaires. On sait qu’il est né lorsque les bergers et montagnards d’antan fabriquaient de la tomme pour conserver le lait. Ce fromage était alors servi à chaque repas. Trouvant son berceau au cœur des Pyrénées-Atlantiques, ce délicieux fromage fut surtout concocté en été. À cette saison, les troupeaux pâturaient en altitude, conférant ainsi les spécificités aromatiques de la tomme de brebis. En effet, la qualité des herbes et des fourrages en période estive fait en sorte que le lait soit beaucoup plus parfumé et fruité. Mais de nos jours, ce fromage à pâte pressée non cuite est produit toute l’année dans les fermes et les industries laitières. Il trône au quotidien sur la table des Français et devient un incontournable des plateaux de fromages. Où est fabriquée la tomme de brebis ? Originaire des Pyrénées-Atlantiques, la tomme de brebis est principalement fabriquée à Lons dans le Béarn. Dans ce terroir d’exception, les troupeaux pâturent quotidiennement. Ils se nourrissent d’herbes et de fourrages provenant de cette zone géographique. La qualité de l’alimentation du bétail et le savoir-faire des fromagers pyrénéens procurent à la tomme de brebis sa saveur exceptionnelle. La tomme de brebis a de nombreuses cousines françaises, à l’instar de la Tomme de brebis Corse, la Tommette de brebis de Savoie ou encore le Fiore di Muntagna Tomette. Mode de fabrication et saisonnalité La tomme de brebis est fabriquée à base de lait de brebis, de présure, de ferments lactiques et de sel. Elle est faite à base de lait de trois races les Basco béarnaises, les Manech. Le lait de ces brebis est d’une qualité exceptionnelle, offrant ainsi un fromage d’exception. En revanche, il est aussi très rare. 22 brebis sont en effet nécessaires pour obtenir la quantité de lait équivalente à la traite d’une vache. Pour la fabrication de la tomme de brebis, le lait fraîchement collecté est mis en fermentation. Le caillé obtenu sera découpé en grain. Le fromager l’égoutte pour récupérer le petit lait, puis le met en moule. Chaque meule passe ensuite en saumure avant de partir en cave d’affinage. Le fromage est affiné pendant deux à trois mois durant lesquels il est régulièrement retourné et brossé. C’est au cours de cette période que la croûte se forme pour envelopper une pâte à la fois tendre et ferme. La tomme de brebis se déguste idéalement entre juin et décembre après un affinage de trois mois. Elle reste toutefois exquise de mai à février. Où trouver de la tomme de brebis ? Vous pouvez acheter de la tomme de brebis dans les supermarchés ou dans un magasin spécialisé proche de chez vous. Vous pouvez également le commander auprès d’une fromagerie en ligne. Comment faire de la tomme de brebis ? L’idée de concocter une tomme de brebis faite maison vous tente ? Voici le processus à suivre pour élaborer votre fromage. Sachez que la fabrication d’un fromage de brebis tel que la tomme repose sur six grandes étapes. Mais avant de passer en action, vous devez disposer de certains équipements dont un stérilisateur ou une grande marmite, un seau en plastique alimentaire de 11 litres ainsi qu’une cave pour l’affinage. À savoir qu’il faut environ 10 litres de lait cru pour fabriquer une tomme de brebis de 1 kilo. Récolté chaud dans une ferme, le lait peut être conservé pendant 12 heures à une température de 5 degrés. Au-delà, il s’acidifie et devient impropre pour fabriquer du fromage. Le caillage La première étape consiste à faire chauffer le lait de brebis à 40 ° C. Ajoutez-y des ferments et de la présure. Mélangez et laissez le lait se reposer pendant une heure dans une pièce d’une température comprise entre 20 °C et 25 °C. Le lait va cailler. Le découpage La présure a pour effet de donner une consistance gelée au lait. Dans ce cas, il faut procéder à son décaillage pour filtrer le petit lait. Il s’agit de découper le caillé en grains réguliers avec un pic de barbecue. Brassez-le ensuite pour séparer le petit-lait des grains de caillé. Avec vos bras, mélangez sans cesse les morceaux sans les casser dans un seau. En même temps, chauffez doucement le caillé jusqu’à obtenir une température de 36 °C au bout d’une quarantaine de minutes. Le moulage Mettez le caillé dans des moules perforées afin de donner au fromage sa forme définitive. Pensez à placer une étamine dedans pour récupérer le petit lait. Celui-ci servira à faire de la brousse ou du sérac. Le pressage Pressez le caillé en repliant l’étamine dessus. Couvrez ensuite avec une autre moule sur lequel vous placerez de manière équilibrée un poids de5 kilos. Laissez égoutter pendant environ 40 minutes. Après ce premier pressage, sortez le fromage et remettez-le dans une moule plus petite. Appliquez-y un poids équilibré de 10 kilos et laissez poser pendant 12 heures. Le saumurage Après égouttage, il est maintenant temps de démouler le fromage et de le saler. Pour ce faire, il convient de le plonger dans une solution saline, soit dans une jarre remplie d’eau et d’un kilo de gros sel. Laissez le fromage immerger dans cette saumure durant 12 heures. Le saumurage permet à la fois d’affiner le goût du fromage et d’assurer sa conservation. L’affinage en cave Il reste enfin à affiner le fromage dans une cave humide. Placez-le dans un garde-manger où il va mûrir lentement et développer ses arômes subtils. Pensez à le brosser et le retourner tous les deux jours. Le temps d’affinage prend au moins deux mois. Votre tomme de brebis sera encore meilleure en prolongeant cette durée. Comment déguster la tomme de brebis ? La tradition veut que la tomme de brebis se déguste crue sur un plateau de fromages. Elle se savoure idéalement accompagnée de salade, avec un peu de miel ou de la confiture de cerise noire. Ce fromage se marie aussi parfaitement avec du tapas ou encore des verrines. Pour encore plus de saveur, accompagnez-le d’un Tursan blanc ou d’un Madiran rouge. En version cuite, ce délicieux fromage de brebis peut intégrer des plats comme des gratins, des tartes, des tourtes ou encore des cakes salés. Quelle que soit la recette, la tomme au lait de brebis se consomme sans modération en plateau, à l’apéritif ou en cuisine. Vendor Information No ratings found yet! Livarot AOP Célèbre fromage normand, le Livarot AOP est un incontournable des plateaux de fromages. D’un caractère franc, mais tendre, le Colonel » apporte une touche d’originalité à vos recettes et apéritifs. Envie d’en savoir plus sur cette petite gourmandise qui ravit les papilles des grands gourmets ? Zoom sur l’histoire, les caractéristiques et la méthode de fabrication de l’un des plus vieux fromages AOP de la la suite Raclette nature Je suis un fromage emblématique du massif alpin. Je suis nature, mais loin d’être ennuyeux. La France et la Suisse revendiquent mon origine. Qui suis-je ? La Raclette nature bien entendu. Star de la raclette, le fromage à raclette nature apporte à ce plat un goût végétal subtil, avec quelques notes acidulées et fruitées. La Raclette nature de la Savoie a obtenu une IGP en 2017. Celle de la Suisse est AOP depuis la suite Brocciu Savez-vous ce qui caractérise le territoire de l’Ile de beauté ? Il s’agit du Brocciu, le plus populaire des fromages corses. Certifié Appellation d’Origine Protégée AOP depuis 1998, il est très blanc, très bon, crémeux et si mousseux que sa seule vue suffirait à nous délecter. Élaboré à partir du petit-lait de brebis et non de lait, il garde son authenticité et sa singularité. Sentez le goût de la Corse à la première bouchée, à la seconde, à la troisième… Irrésistible !Lire la suite Pont l’Eveque AOP Le Pont-l’évêque est un fromage à pâte molle et à croûte lavée créé par des moines cisterciens installés à l’ouest de Caen au XIIe siècle. Fromage à caractère en fin d’affinage, il révèle un goût légèrement typé, une saveur subtile avec des notes de noisette et de beurre. De quoi séduire tous les palais ! Depuis longtemps, le Pont-l’évêque fait la fierté des Normands et témoigne aujourd’hui d’un savoir-faire particulier transmis de génération en génération. En 1996, il bénéficie d’une Appellation d’Origine Protégée AOP. Dans ce présent article, tout ce qu’il faut savoir sur ce produit aux mille et une la suite Grana Padano Fromage emblématique de l’Italie, le grana padano est connu comme étant le fromage AOP le plus célèbre au monde. Aromatique, granuleux et légèrement fruité, il apporte à la fois de la délicatesse et du mordant à vos recettes de cuisine. C’est un allié clé pour concocter de délicieux plats. Vous souhaitez en connaître davantage sur ce vieux fromage italien ? Voici tout ce qu’il faut savoir sur le grana la suite Fourme d’Ambert AOP La fourme d’Ambert est un incontournable des plateaux de fromage. D’une saveur fine et parfumée, elle ravit les grands gourmets. Découvrez sans plus tarder ce qu’il faut savoir sur la fourme d’Ambert, le fromage bleu le plus doux de la gastronomie la suite Depuis dix ans Guillaume Chenot réalise des fromage, il se lance régulièrement dans des créations. Sa tome entre ses mains est composée de trois algues, la nori, la dulce et la laitue de mer. Attention les yeux Guillaume en photo en grand dans le Télégramme avec un article très sympa d’Eléonore Bohn!! La classe!! Éléonore Bohn Si vous cherchez un produit local et que vous pensez que la Bretagne n’est pas une terre de fromage, la Crémerie de la côte pourrait bien vous surprendre… © Le Télégramme+ Chaque matin c’est le même rituel. Guillaume Chenot traverse la route et va chercher son lait de vache. À la croisée des Quatre-Chemins, à Baden, le fromager a tracé sa route. La ferme où il s’approvisionne c’est celle de Kerilio. Il la connaît bien puisqu’il y a travaillé. Il y a même fait ses armes. J’ai d’abord appris à faire des laitages. Et quand l’activité s’est arrêtée en face, j’ai racheté le matériel et je m’y suis mis », relate Guillaume Chenot. C’est presque le métier qui l’a choisi. Sur la route de Port-Blanc Au départ je voulais être agriculteur, mais ce n’était pas possible. Du coup j’ai fait une courte formation en production laitière et j’ai trouvé ça super ». Mais pas suffisamment pour que le Badennois ne se lance dans l’aventure. C’est à la suite d’une période de chômage qu’il s’est décidé. Il a d’abord travaillé sur les marchés, en 1997. Un an plus tard, la ferme de Kerilio lui propose de reprendre l’activité des yaourts. Et en 2000, il s’installe. Sa crémerie est au bord de la route qui mène à Port-Blanc. Selon mes calculs, voitures passent en moyenne par jour l’été, c’est donc un bon endroit pour être visible… même si le nombre de voitures qui se sont arrêtées ne correspondait pas tellement à mes estimations », blague-t-il. Une cave à fromages Sur place, il a une boutique, un laboratoire et une cave d’affinage. En vitrine, des noms originaux qui signent l’empreinte locale. À commencer par sa création, le Badennois, un fromage à pâte pressée, avec du caractère. Sous cloche, on aperçoit le Menhir, reconnaissable à sa forme quasi pyramidale. Il est assez demandé, j’en vends un peu à l’île-aux-Moines, ici à Baden, mais pas sur les marchés ». Pourtant sa cave d’affinage peut contenir jusqu’à fromages, ce n’est donc pas un problème de place, mais de temps. Entre les fromages à pâte pressée, comme les tomes, et les frais, les délais de réalisation varient. Un frais demande plus d’attention qu’une tome. De la spiruline et de l’encre de seiche Originalité, le fromager s’est lancé dans la production de tome aux algues, avec de la nori de la dulce et de la laitue de mer. Ces trois algues, il les fait venir de Roscoff. On sent le côté marin », promet Guillaume Chenot. Autrement, il y a le fromage agrémenté de spiruline, d’aspect verdâtre. Au départ j’ai fait cela pour la couleur, puis en fait, ça a un goût très végétal ». Enfin, plus discrète, la perle noire, une tome à l’encre de seiche. Avec une dizaine de variétés de fromages, Guillaume Chenot leur revendique un point commun ils sont tous au lait de vache cru, donc non pasteurisé. Je récupère le lait chaud, en face, il n’a même pas le temps de refroidir ». © Le Télégramme l'essentiel En oubliant un lot de fromages pendant le confinement dans un coin de leur cave, Lionel et Laura Vaxelaire, éleveurs laitiers à Saulxures-sur-Moselotte Vosges, ont créé une nouvelle variété, qu'ils ont bien sûr appelée "Le confiné". "Le confiné est arrivé comme ça, il n'y avait rien de prévu", raconte Lionel Vaxelaire, 41 ans, en préparant l'étroite salle de traite d'été au pied des pâturages, à 670 mètres d'altitude. Devant la porte, 25 vaches de la race vosgienne, robe noire et blanche, tête tachetée, patientent dans le petit matin brumeux et humide. Avec son épouse Laura, 36 ans, M. Vaxelaire transforme chaque année environ litres de lait en munster fermier AOC, tommes des Vosges bargkass nature ou parfumée et "Coeur de massif", fromages frais, "petits blancs" et yaourts, vendus à la ferme, sur des marchés et auprès d'intermédiaires. Mi-mars, quand le confinement a été décrété en raison de l'épidémie de Covid-19, "les ventes ont baissé de 80% les quinze premiers jours", se souvient l'agriculteur. Dans la petite cave installée à côté de l'atelier de transformation, dans l'ancien grenier à foin, les bargkass, munster et autres fromages s'entassaient. "Tous les jours nous faisions du fromage sans savoir ce que ça allait donner, sans avoir de ventes", poursuit-il. Isolé dans la cave Le couple jongle entre la traite des vaches matin et soir, les soins aux génisses et veaux et les livraisons dans les villages alentour. "On n'avait plus le temps de tout faire", résume M. Vaxelaire. Un lot d'une soixantaine de fromages se retrouve dans un coin de la cave, délaissé... mais pas sans surveillance. Selon le cahier des charges, un munster AOC est égoutté, lavé et salé avant d'être déposé sur des claies métalliques pour l'affinage, qui dure trois semaines minimum. Tous les deux ou trois jours, Laura Vaxelaire le frotte délicatement à l'eau claire et le retourne. "Le confiné", lui, n'a bénéficié d'aucune attention. "On l'a laissé s'affiner tranquillement pendant quatre semaines sans intervenir", explique M. Vaxelaire, tee-shirt blanc avec la tête d'une vache vosgienne sous une combinaison verte. Au bout d'un mois, le couple goûte un morceau de fromage sur lequel s'est développée une croûte grise tachetée. "C'est un fromage à croûte fleurie, ce qui n'est pas habituel dans les Vosges, légèrement crayeux et un peu coulant sous la croûte. Le nouveau fromage a pris toute la flore de notre lait et l'ambiance de la cave, sans qu'on s'en occupe", décrit l'éleveur. "Son goût est sympathique", validé par leurs deux enfants de 12 ans et 14 ans, renchérit son épouse. Engouement Lui donner comme nom "Le confiné" - déposé depuis à l'Institut national de la propriété industrielle - s'est imposé comme une évidence. "On était en période de confinement et on lui a fait subir un isolement dans la cave", sourit Laura Vaxelaire. "C'est un fromage un peu par hasard, il n'y aurait pas eu le confinement, il n'aurait pas vu le jour", ajoute-t-elle. "Le confiné", vendu 12 euros le kilo contre 13 euros pour le Munster traditionnel, rencontre immédiatement un vif succès auprès des consommateurs, à tel point que la production est à flux tendu. Pour répondre à la demande, le temps d'affinage a été réduit à huit ou quinze jours et le couple prévoit d'en produire environ une quarantaine de kilos par semaine. "On aimerait retrouver le caractère qu'il avait au début, mais nous manquons de temps", résument les Vaxelaire dont la ferme s'étend sur 80 hectares dans le parc naturel régional des Ballons des Vosges. "La création du "Confiné" fait apparaître un côté positif de l'épidémie de coronavirus dont les gens avaient besoin", observe le couple, amusé par le succès médiatique en France et à l'étranger de leur fromage cylindrique. L'arrivée du "Confiné" sur le plateau de fromages français est aussi une façon pour les Vaxelaire de promouvoir les Vosges et la vache vosgienne, "très bonne marcheuse et résistante".

periode passe dans une cave par un fromage